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mardi 25 janvier 2011

L’euro estonien fait enrager Moscou

La carte du pays qui figure sur les pièces d’euros estoniennes inclut des territoires appartenant à la Russie. Moscou n'apprécie pas vraiment ...


Moscou voit rouge depuis l'arrivée des euros estoniens le 1er janvier 2011.
Sur ces nouvelles pièces ,a été frappée une carte du pays dont les frontières ne correspondent pas aux tracés revendiqués par Moscou.
La banque centrale estonienne a reconnu que la carte ne correspondait "pas exactement aux frontières du pays". Il s’agit seulement, pour elle, d’une "représentation artistique" mais cet argument n’est pas du goût des russes. Pour l’ambassade de Russie en Estonie "sur des questions aussi essentielles que le tracé de la frontière, aucune fantaisie d’artiste n’est acceptable".
Mais l’ambassadeur Estonien à Moscou n'use pas des mêmes précautions diplomatiques. Pour lui, il n'y a pas d'erreur: la frontière indiquée sur la pièce correspond à la réalité politique. Depuis l’effondrement de l’URSS en 1991, les deux pays se disputent le tracé de cette frontière.
En mai 2005, l’Estonie et la Lettonie avaient tenté, en vain, de signer un traité de délimitation des frontières avec leur puissant voisin. De fait, la délimitation nord-orientale de l’Union européenne reste une énigme juridique…

Les anciens billets pour chauffer les maisons  


Que sont devenues les couronnes estoniennes depuis l’abandon de la monnaie nationale ?La banque centrale du pays a décidé d’en faire du combustible pour le chauffage! Les couronnes ont été passées au broyeur, comprimées, puis envoyées à la centrale de cogénération qui assure le chauffage de certains quartiers de Tallinn.

Lavoisier a fait école dans les Pays baltes. Pour les pièces, le métal servira à frapper les euros estoniens actuellement fabriqués en Finlande: "Rien ne se perd, rien se créé, tout se transforme".

Source :http://fr.myeurop.info/2011/01/12/l-euro-estonien-fait-enrager-moscou-1074
 
 

dimanche 16 janvier 2011

Turku 2011 : “La culture, c’est la santé”


 “La culture, c’est la santé”, c’est sous ce slogan et par moins 17 degrés, que l’ancienne capitale de la Finlande, Turku, a inauguré son nouveau statut de capitale européenne de la culture.
Dans cette ville, sur les rives de la Baltique, environ 150 manifestations culturelles vont s‘échelonner toute l’année.
La commissaire européenne à la culture, Androulla Vassiliou, était présente : “ici à Turku”, dit-elle, “ils ont invité par exemple une quinzaine de troupes de théâtre de l’extérieur. Elles vont se produire devant les habitants de Turku, mais aussi devant les Finlandais et les touristes. C’est une excellente manière de faire se rencontrer différentes cultures”.
De part et d’autre de la rivière gelée Aurora, danses, concerts et feux d’artifices ont donné le coup d’envoi des festivités samedi soir. Turku partagera son effervescence culturelle avec sa voisine estonienne Tallinn, co-désignée capitale de la culture européenne 2011.

Copyright © 2011 euronews

vendredi 7 janvier 2011

De la Chalosse à l'Estonie


Entrée dans l'Union européenne en 2004 , l'Estonie vient d'entrer dans la "zone euro" en janvier 2011.
Mais sa littérature est déjà dans nos bibliothèques, surtout depuis que les éditions Gaïa, installées à Montfort-en-Chalosse et grandes spécialistes des littératures nordiques, ont décidé de traduire et d'éditer " Vérité et justice ", le chef-d'œuvre d' A.H.Tammsaare : une œuvre gigantesque, cinq tomes et presque trois mille pages.
"Rien lu de plus beau "
Tammsaare, souvent appelé le Balzac estonien, a écrit l'histoire de son pays à travers la saga d'une famille depuis l'arrivée du jeune couple dans la colline du voleur où la terre est marécageuse et hostile. C'est une littérature qui peint avec précision et justesse les grands paysages de ce pays baltique où la vie est rude. Les premiers volumes étaient arrivés sur la table de Jean Giono qui disait n'avoir "jamais rien lu de plus beau". Pour les éditions Gaïa, cette édition complète fut une gageure. Cinq tomes qui ont nécessité des années de travail éditorial.
Le dernier tome vient de paraître chez Gaïa dans une nouvelle traduction de Jean-Pascal Ollivry, achevant une œuvre qui s'inscrit dans les valeurs sûres d'une bibliothèque curieuse de la culture européenne.
Tome 2: Indrek  
Tome 4 : Indrek et Karin 
Tome 5 : Retour à la Colline-du-Voleur

source : http://www.sudouest.fr/2011/01/06/de-la-chalosse-a-l-estonie-282803-3333.php

Tallinn veut qu’on se souvienne d’elle en 2011



 Amateurs de paysages polaires, à vos agendas. En 2011, deux villes du Nord se mettent en quatre pour honorer leur titre de capitales européennes de la culture : Tallinn, en Estonie, et Turku, en Finlande.

La capitale estonienne se veut une valeur montante, où l’on ne manque ni d’artistes ni d’idées. Liisi est styliste et elle voit les choses en grand pour sa ville :
“Dans quelques années, Tallinn pourrait être comme Berlin ou même devenir le nouveau Berlin. Nous avons une culture totalement unique et le fait que nous soyons un petit pays ne veut pas dire que nous ayons l’esprit étroit et peu d’idées. En fait, nous voyons grand, et nous sommes pleins d’entrain et courageux dans ce que nous faisons“¨, assure-t-elle.

La nuit de la Saint-Sylvestre, pour fêter son titre, Tallinn a projeté un clip dans lequel des monuments de la culture européenne la survolaient. Pour découvrir le programme des prochains mois, deux mots-clés : Tallinn 2011.

Pour voir la vidéo euronews :cliquez ici 

Source : 
http://fr.euronews.net/2011/01/05/tallinn-veut-qu-on-se-souvienne-d-elle-en-2011/ 

Vidéo de la cérémonie d'ouverture de Tallinn, European Capital of culture 2011 
Estonian new year 2011
 

samedi 1 janvier 2011

La Loire le 1er janvier 2011



La première balade de l'année nouvelle a été pour nos "chers" bords de Loire . 
Le temps gris et froid ne se prêtait  guère à une longue promenade, c'est pourquoi notre première marche de 2011 n'a duré que le temps d'aller jusqu'au pont Napoléon et de revenir dans les bas de Fondettes .
La Loire commence à atteindre un niveau assez élevé, la ville de Tours a donc fermé par précaution un des parkings des bords de Loire , celui qui se trouve au dessous de la bibliothèque .
Un peu morose ce début d'année sans soleil ...Je dirais même tristounet !